La densification urbaine amène à concevoir de plus en plus de projets à proximité de sources vibratoires, en particulier de circulations ferroviaires.

Les effets des circulations ferroviaires doivent être évalués pour les futurs projets tant s’agissant des nuisances vibratoires directes (perception tactile) que s’agissant des nuisances induites (rayonnement sonore).

La gêne peut être accentuée par le caractère intermittent du signal vibratoire : le « grondement » émit lors du passage du convoi.

À titre d’illustration, il est parfaitement possible de dormir dans un avion, alors que le niveau sonore est de 80dB(A) [niveau stable], mais il n’est pas aisé de dormir si un niveau sonore de 80dB(A) est créé de façon intermittente [niveau émergeant] – de la même façon, le bruit d’une goutte d’eau tombant dans un lavabo [niveau émergeant] ne génère pas plus de 30dB(A), mais est un phénomène très perturbant.

Les moyens à retenir pour lutter contre les niveaux vibratoires (pose partielle ou complète d’un bâtiment sur appuis antivibratoires) sont d’un coût conséquent pour une opération. Il convient donc, dès le démarrage des études qu’un diagnostic vibratoire complet soit réalisé. En regard des conclusions de ce diagnostic, une solution antivibratoire peut être nécessaire.

Le STUDIO FA accompagne les maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage pour la prise en compte de ces phénomènes : mesures vibratoires, estimations de la gêne potentielle, description de solutions antivibratoires adaptées, suivi de réalisation et mesures finales de contrôle.






 

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